Même Maverick avait besoin de Goose.
Jouer solo, c’est un mythe à fort taux de crash...
Dans les films, le héros fait tout.
Il fonce, décide, réussit.
Seul.
Dans la vraie vie ?
Il s’épuise, il doute, il improvise...
Il finit par confondre urgence et conséquence.
Je vois trop de dirigeants brillants qui avancent en pilote automatique, en espérant prendre au mieux le prochain virage, parfois en apnée.
Ce n'est pas qu’ils n'en sont pas capables.
Mais ils sont seuls. Trop seuls.
Vous n’êtes pas censé tout faire, tout savoir, tout porter.
Et encore moins à pleine vitesse, sans copilote pour vous guider.
Le bon mentor, ce n’est pas un coach “feel good”.
Ce n'est pas non plus celui qui va vous donner des stratégies marketing à la mode.
Non.
C’est un sparring partner stratégique,
Celui qui analyse avec vous vos enjeux et définit la trajectoire la plus appropriée pour y aller
Celui qui voit les trous d’air avant que vous ne les sentiez,
Celui qui vous recentre quand vous vous dispersez,
Celui qui vous renvoie vos angles morts , avec ses gants de course et pas de velour.
Selon l’IMD Lausanne, 71% des dirigeants mentorés améliorent significativement leurs résultats.
Juste en réfléchissant mieux. Plus vite. À deux.
Vous pouvez continuer à voler en solo.
Mais même Tom Cruise, aussi sexy et doué soit-il, avait besoin d’un duo.
Qu'est ce qui retient encore à arrêter d’être seul dans le cockpit ?
Curieuse de vous lire 👇
𝐀𝐧𝐭𝐢𝐜𝐫𝐚𝐬𝐡 𝟑𝟔𝟎𝐇™ : 𝑳𝒆 𝒔𝒚𝒔𝒕𝒆̀𝒎𝒆 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆́ 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒊𝒓𝒊𝒈𝒆𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒃𝒓𝒊𝒍𝒍𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒔𝒖𝒓 𝒔𝒕𝒊𝒎𝒖𝒍𝒆́𝒔
https://lnkd.in/ej5cc_q3